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Le Hatha Yoga

 

Présentation

Comme nous l’avons vu dans l’article « Le yoga, c’est quoi ? », il existe cinq formes traditionnelles de yoga. Le hatha yoga, au sens originel, désigne le yoga du corps, le yoga physique, et s’appuie sur des techniques spécifiques, tout comme le Raja yoga.

Tous les styles de yogas posturaux que l’on connaît aujourd’hui sont donc du hatha yoga. Simplement le sens a dérivé un peu, et l’on a dû spécifier les méthodes qui ont alors pris le nom de leur fondateur ou de l’école (Iyengar, Bikram, Sivananda, etc.) ou bien des noms spécifiques (Vinyasa, Ashtanga, Yin, Kundalini, par exemple) ; lorsque l’on parle de hatha yoga, on désigne aujourd’hui un yoga où l’on s’installe dans une posture que l’on va tenir une certaine durée, suivie d’une relaxation (contrairement au Vinyasa par exemple, où l’on enchaine les postures dynamiques – on parle alors de «flow»).

 

Hatha signifie : force, effort, voire même violence. Pratiquer le Hatha Yoga, c’est donc chercher à arriver à l’état de Yoga, ou d’Union, par le Hatha, l’effort. C’est également le Soleil (Ha) et la Lune (Tha), c’est à dire les deux courants énergétiques polarisés qui circulent en nous – nous explorerons ces notions dans un post spécifique.

Le but du travail physique du Hatha Yoga est de préparer le corps pour l’éveil de la Kundalini ShaktiKundalini Shakti, c’est l’énergie latente, d’une puissance immense, lovée dans le corps énergétique. On la représente comme un serpent enroulé trois fois et demi sur lui-même, avec la tête engagée dans la base de la colonne vertébrale. On dit que Kundalini Shakti est endormie en chacun de nous ; sa puissance est telle que le souffle de ce serpent endormi, ce débit très réduit qui se propage doucement dans le corps, nous permet de vivre, de faire fonctionner le physique, le vital et le mental, et d’agir dans le monde manifesté. au moyen des PranayamaTechniques respiratoires d'augmentation de l'énergie - La respiration est la source principale de Prana, énergie nécessaire à la survie, et nous respirons en permanence. C’est pourquoi le yoga donne beaucoup d’importance aux techniques respiratoires : ce sont les Pranayama (Prana : énergie, et Yama : contrôle).. Or, l’éveil de la Kundalini ShaktiKundalini Shakti, c’est l’énergie latente, d’une puissance immense, lovée dans le corps énergétique. On la représente comme un serpent enroulé trois fois et demi sur lui-même, avec la tête engagée dans la base de la colonne vertébrale. On dit que Kundalini Shakti est endormie en chacun de nous ; sa puissance est telle que le souffle de ce serpent endormi, ce débit très réduit qui se propage doucement dans le corps, nous permet de vivre, de faire fonctionner le physique, le vital et le mental, et d’agir dans le monde manifesté. peut être un choc pour le système. On donne souvent l’image d’un courant de 2 000 V qu’on enverrait dans un câble prévu pour du 220 V : on brûle tout le système ! Les conséquences peuvent être graves.

L’éveil de Kundalini ShaktiKundalini Shakti, c’est l’énergie latente, d’une puissance immense, lovée dans le corps énergétique. On la représente comme un serpent enroulé trois fois et demi sur lui-même, avec la tête engagée dans la base de la colonne vertébrale. On dit que Kundalini Shakti est endormie en chacun de nous ; sa puissance est telle que le souffle de ce serpent endormi, ce débit très réduit qui se propage doucement dans le corps, nous permet de vivre, de faire fonctionner le physique, le vital et le mental, et d’agir dans le monde manifesté. peut se faire de manière inopinée, mais le but de la pratique (aussi appelée SadhanaDiscipline de vie. Lorsque nous décidons de prendre notre vie en charge, et d’aller dans la direction de l’harmonie, de l’équilibre et de l’unité, nous pouvons dire que nous menons une vie spirituelle. Pour le moment, nous cherchons à arriver à l’état de Yoga. En Inde, ce chemin s’appelle le Sadhana. On fait donc le Sadhana, et non le Yoga !) est bien entendu de le déclencher grâce à des techniques spécifiques. Le pratiquant doit être en bonne santé : les fonctions d’assimilation et d’élimination doivent être harmonieuses. Le corps doit rester dans l’équilibre, autrement il tombe malade – ou pire. Or, dans le Hatha yoga, on vise à réaliser la vie spirituelle par le corps, car c’est le véhicule qui permet de progresser dans ce monde. Lorsque l’on est malade, on stagne, car le corps se dépense constamment pour rétablir la santé.

 

Dans ce but, le Hatha Yoga met en œuvre quatre grandes techniques :

  • Les Sat Kriya ou actions de purification, pour garder le corps en bonne santé
  • Les Asana ou postures pour renforcer le corps, et concentrer le mental sur lui
  • Les Bandha et Mudra pour faire circuler et diriger l’énergie vitale, le PranaÉnergie vitale, présente dans tout objet manifesté. Dans le souffle, il y a le Prana, mais le Prana ne se limite pas à lui ! Le soleil, l'alimentation, par exemple, sont d'autres sources de Prana.
  • Le Pranayama ou contrôle de l’énergie vitale par le souffle pour éveiller la Kundalini ShaktiKundalini Shakti, c’est l’énergie latente, d’une puissance immense, lovée dans le corps énergétique. On la représente comme un serpent enroulé trois fois et demi sur lui-même, avec la tête engagée dans la base de la colonne vertébrale. On dit que Kundalini Shakti est endormie en chacun de nous ; sa puissance est telle que le souffle de ce serpent endormi, ce débit très réduit qui se propage doucement dans le corps, nous permet de vivre, de faire fonctionner le physique, le vital et le mental, et d’agir dans le monde manifesté.

Les textes fondateurs du Hatha sont la Shiva Samhita, la Gheranda Samhita et la Hatha Yoga Pradipika.

 

Les techniques

 

Les Sat Kriya ou actions de purification

Il existe différentes techniques de purification des trois plans ; cependant, la priorité dans la pratique du Hatha est évidemment le corps physique. Les aspects mental et vital sont moins primordiaux : le corps physique, s’il est pur et en bonne santé, va se répercuter sur le mental et le vital, qui ne sont pas travaillés spécifiquement.
Bien entendu, nous devons essayer de vivre, manger et respirer de manière à ne pas avoir recours aux Sat Kriya ! Mais nous sommes imparfaits et nous avons tendance à abuser des choses que nous aimons : les toxines s’accumulent ! D’autre part, aujourd’hui, l’air que nous respirons, les aliments que nous ingérons, ne sont pas vraiment purs. Il y a beaucoup de pollution, de pesticides, etc.

Pour rester en bonne santé, le pratiquant peut utiliser les Sat Kriya (Sat : action, Kriya : purification). Ils sont au nombre de 6 (avec des éventails de techniques différents). Nous allons les énumérer mais ne rentrerons pas ici dans le détail.

  • Neti : le nettoyage de la partie nasale du système respiratoire
  • Dhauti : le nettoyage du corps
  • Basti : le nettoyage des intestins
  • Shankprakshalana : le nettoyage du système digestif
  • Kapalabhati : la respiration diaphragmatique
  • Tratak : la fixation du regard

 

Les Asana ou postures

Il y a souvent une confusion dans la description des asana, qui est due à l’amalgame entre Hatha et Raja yoga. Le texte de PatanjaliIl s'agit des Yoga Sutra de Patanjali, un des principaux textes fondateur du yoga, qui codifie le Raja yoga, décrit l’asana comme une assise stable et confortable, et on admet communément qu’il s’agit de la posture du Lotus – ou de l’une de ses variantes. Or, dans le Hatha, la posture doit être constamment poussée, complexifiée à mesure que l’élève progresse. Il s’agit d’arriver à l’état d’Union par l’effort physique, et le mental doit être tout entier absorbé dans la pratique corporelle. Or, si la posture est aisée et confortable, le mental n’est plus sollicité et il vagabonde, et l’énergie se perd.

C’est pourquoi, dans le Hatha, les asana sont diverses et comprennent de multiples variantes et adaptations, pour permettre une progression constante, une recherche des limites physiques et une volonté de les repousser, pour impliquer totalement le mental dans l’exercice.

Dans la tradition originelle, les asana sont peu à peu remplacées par la pratique intense du PranayamaTechniques respiratoires d'augmentation de l'énergie - La respiration est la source principale de Prana, énergie nécessaire à la survie, et nous respirons en permanence. C’est pourquoi le yoga donne beaucoup d’importance aux techniques respiratoires : ce sont les Pranayama (Prana : énergie, et Yama : contrôle)., (outil suprême dans l’éveil de la Kundalini ShaktiKundalini Shakti, c’est l’énergie latente, d’une puissance immense, lovée dans le corps énergétique. On la représente comme un serpent enroulé trois fois et demi sur lui-même, avec la tête engagée dans la base de la colonne vertébrale. On dit que Kundalini Shakti est endormie en chacun de nous ; sa puissance est telle que le souffle de ce serpent endormi, ce débit très réduit qui se propage doucement dans le corps, nous permet de vivre, de faire fonctionner le physique, le vital et le mental, et d’agir dans le monde manifesté. par le Hatha yoga) à mesure que l’élève progresse. Dans la pratique actuelle, qui n’a pas pour but la libération du SamsaraCycle des karmas successifs, ou des réincarnations. mais la recherche de l’harmonie dans ce monde-ci, une pratique aussi intensive est quasiment impossible, et le Hatha yoga désigne désormais principalement la pratique d’asana.

 

Bandha et Mudra

Bandha signifie « sceller », et est souvent traduit par « contraction ». Il s’agit en réalité d’un « verrou », d’une fermeture, pour empêcher l’énergie de monter ou de descendre, selon les cas.

Dans le Hatha yoga, on compte jusqu’à 25 mudra, gestes qui consistent sceller, à augmenter et à faire circuler l’énergie dans le corps, à la diriger, afin d’aider l’éveil de Kundalini ShaktiAjouter un texte d'infobulle. Aujourd’hui, on utilise principalement les quatre BandhaBandha signifie « sceller », et est souvent traduit par « contraction ». Il s’agit en réalité d’un « verrou », d’une fermeture, pour empêcher l’énergie de monter ou de descendre, selon les cas. suivantes : Mula bandha, Uddyana bandha, Jalandara Bandha et Jiva Bandha.

  • Mula bandha : Verrou de la Racine. C’est la contraction des sphincters de l’anus et de la vessie (et pour les femmes, celle du vagin et de l’utérus). Il dirige l’énergie vers le haut, en scellant le diaphragme de la racine, le périnée.
  • Uddyana bandya : Verrou du Diaphragme. C’est l’étirement de l’abdomen : les viscères sont tractés par le diaphragme, comme « aspirés » sous les côtes. Il dirige l’énergie vers le bas, l’empêche de monter vers les poumons et la gorge.
  • Jalandara Bandha : Verrou de la Gorge. Lors d’une rétention de souffle, sans ce verrou, l’air peut monter et descendre à l’intérieur du corps, entre les poumons et la gorge. Le bandha ferme les orifices des NadiCanaux énergétiques, subtils, qui véhiculent le Prana dans le corps. IdaNadi associé à la lune, qui croise Pingala dans les Chakras. Les canaux centraux (Ida, Pingala, Shushumna) relient l’énergie latente à la base de notre colonne à la Conscience Pure. et PingalaNadi associé au soleil, qui croise Ida dans les Chakras. Les canaux centraux (Ida, Pingala, Shushumna) relient l’énergie latente à la base de notre colonne vertébrale à la Conscience Pure. , et empêche la pression de monter dans le crâne.

Ces BandhaBandha signifie « sceller », et est souvent traduit par « contraction ». Il s’agit en réalité d’un « verrou », d’une fermeture, pour empêcher l’énergie de monter ou de descendre, selon les cas., pratiqués à poumons vides, sont des KriyaTechnique de purification. , car lorsqu’on expire il n’y a pas d’énergie à faire monter. Lorsqu’ils sont pratiqués à poumons pleins, ils font monter l’énergie, et sont alors à classer parmi les MudraGestes qui consistent sceller, à augmenter et à faire circuler l’énergie dans le corps, à la diriger, afin d’aider l’éveil de Kundalini Shakti (nous parlerons d’énergie bientôt !).

On leur associe un quatrième BandhaBandha signifie « sceller », et est souvent traduit par « contraction ». Il s’agit en réalité d’un « verrou », d’une fermeture, pour empêcher l’énergie de monter ou de descendre, selon les cas. (qui n’est traditionnellement pas pratiqué seul) :

  • Jiva Bandha, qui consiste à pousser la pointe de la langue contre le palais, pour faire monter encore l’énergie.

Certains gestes agissent sur différentes parties du corps, et toutes portent une grande symbolique dont nous n’avons pas toujours la clé de compréhension, ce qui crée souvent de fausses traductions et des pertes de sens – puisqu’ils avaient vocation à être transmis par un Guru, qui en expliquait le sens réel (enduire le corps de cendres après le PranayamaTechniques respiratoires d'augmentation de l'énergie - La respiration est la source principale de Prana, énergie nécessaire à la survie, et nous respirons en permanence. C’est pourquoi le yoga donne beaucoup d’importance aux techniques respiratoires : ce sont les Pranayama (Prana : énergie, et Yama : contrôle)., par exemple, ou encore se badigeonner de sa propre urine… sont des MudraGestes qui consistent sceller, à augmenter et à faire circuler l’énergie dans le corps, à la diriger, afin d’aider l’éveil de Kundalini Shakti de la tradition indienne, qui sont décrits -mais pas expliqués ! – dans la Shiva Samhita et la Gheranda Samhita).

 

Le Pranayama ou contrôle de l’énergie vitale par le souffle

C’est la technique la plus importante dans le Hatha yoga. Dans la tradition, petit à petit, on réduit la pratique des Asana pour augmenter celle du PranayamaTechniques respiratoires d'augmentation de l'énergie - La respiration est la source principale de Prana, énergie nécessaire à la survie, et nous respirons en permanence. C’est pourquoi le yoga donne beaucoup d’importance aux techniques respiratoires : ce sont les Pranayama (Prana : énergie, et Yama : contrôle). ; il est dit que, pratiqué à raison de vingt minutes, huit fois par jour, pendant au minimum 12 ans et avec l’aide des MudraGestes qui consistent sceller, à augmenter et à faire circuler l’énergie dans le corps, à la diriger, afin d’aider l’éveil de Kundalini Shakti , le Pranayama peut (mais cela n’est pas garanti !) mener à cet éveil.

Bien entendu, le Pranayama pratiqué dans ce but est bien plus intense que celui que nous pratiquons aujourd’hui en occident : le premier palier de pratique compte 16 secondes d’inspiration, 64 secondes de rétention avec bandhas, 32 secondes d’expiration !

Cette pratique est totalement incompatible avec une vie intégrée dans le monde. C’était la pratique des ermites qui se retiraient de la société indienne afin de chercher à sortir du SamsaraCycle des karmas successifs, ou des réincarnations., d’atteindre le MokshaLibération. Il y a différentes interprétations de cette notion. Il peut s’agir de quitter la société et les possessions, pour méditer ou rechercher le divin, ou bien de rejeter totalement la vie matérielle et la création comme inutiles car seule la vie spirituelle compte, le reste n’est qu’illusion. Il peut également s’agir d’atteindre l’unité, de réaliser que tout est en tout, et d’arriver par là à la libération, au détachement profond. . Aujourd’hui, le pranayama tel qu’il est pratiqué (lorsqu’il est pratiqué, car de nombreux dérivés de Hatha yoga ne l’incluent même pas) a pour objectif le bien-être physique et mental, et absolument pas la recherche de l’éveil. Il faudrait s’investir totalement, avoir des mécènes et du personnel qui s’occuperaient des tâches de la vie quotidienne, y consacrer chaque seconde, pour avoir une pratique qui tende vers la Réalisation.

 

 

Le Yoga Intégral ou Purna Yoga

 

Cette discipline est le fruit de la pensée et du travail de Sri Aurobindo et proche de l’esprit de la Bhagavad Gita. C’est le Hatha Yoga que nous pratiquons chez Maitri Yoga!

 

Définition et présentation

Nous l’avons vu, l’objectif du yoga, dans la tradition, est de sortir du cycle des réincarnations – ou Samsara.Dans le yoga intégral de Sri Aurobindo, cette quête n’existe pas.

Sri Aurobindo pose la question suivante : « Si nous devons quitter le monde en abandonnant tout, alors pourquoi avons-nous tout gardé, depuis le minéral jusqu’à l’animal, dans notre vie ? » On a le corps physique, on a les instincts animaux du vital, on a l’intellect, le discernement… et, petit « truc en plus », propre à l’être humain, nous avons la capacité de choix de direction de notre existence. Alors, pourquoi choisir seulement un aspect et ignorer tous les autres ?

Selon la pensée de Sri Aurobindo, nous ne devons pas nous focaliser sur un aspect et chercher à sortir du cycle des réincarnations ; nous devrions plutôt travailler sur tous les aspects de notre vie, car la Vie est Yoga, et chercher à faire progresser la société et le monde plutôt que de le fuir en cherchant notre salut personnel.

Le yoga intégral est, selon Sri Aurobindo, « le yoga de la perfection » : il faut parfaire le physique, le vital, le mental. Si nous trouvons l’harmonie entre ces trois aspects, nous découvrons notre Être Véritable, l’Âme, qui devient notre Guru, nous dirige et nous permet de nous ouvrir à la Conscience Absolue.

 

Méthode

C’est un yoga universel, pour tous, qui marie tous les aspects des cinq yogas traditionnels!

Dans cette optique, nous devons bien sûr travailler notre corps physique, et soigner l’énergie qui l’anime (donc, le hatha yoga). Mais il s’agit aussi de garder un mental calme et concentré, pour que les émotions ne prennent pas le dessus (c’est le raja yoga); ces deux notions composent l’image que nous avons souvent du yoga en Occident. Dans le yoga intégral, nous devrions également nous mettre au service des autres de manière désintéressée, trouver la joie dans l’action (le karma yoga), avec intelligence et discernement, avec un esprit clair et critique (jnana yoga) et faire tout cela dans l’amour et la positivité (bhakti yoga).

Sri Aurobindo a énoncé le concept du yoga intégral, mais ne donne aucune méthode, car selon lui il appartient à chacun de trouver la méthode qui lui convient, pour purifier ses sentiments, avoir un mental calme et serein tout en développant la lucidité, le discernement, dans un corps sain et énergique. C’est là tout notre travail (et quel travail !). Le reste pourra « arriver » lorsque nous serons prêts.

Dans cette optique, pas d’ascétisme au sens de mortification, mais un véritable ascétisme, au sens de discipline : régularité, patience, persévérance sur le chemin du perfectionnement ! Nous devons simplement aller vers la Connaissance, la Vérité, pour enfin nous libérer de la souffrance.

 

Si vous avez envie de discuter philo, histoire du yoga, si vous avez des questions sur ce qui est – très succinctement ! – présenté ici, contactez-moi, et je ferai de mon mieux pour vous répondre. Merci !